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Impact écologique de la transformation numérique

En cette journée de Sustainable IT Day, il nous tient à cœur de montrer notre soutien à cette initiative et de prendre nos responsabilités en matière d’efficience énergétique et d’impact environnemental de nos produits numériques.

En effet, il est notoire que la production et la conservation de données/documents – à la base de nos sociétés de l’information – ont une empreinte environnementale importante et croissante qui n’est pas négligeable, surtout en raison de l’inflation documentaire numérique.

Or, le modèle économique de docuteam est entièrement axé sur la disponibilité durable de l’information et c’est en ce sens nous proposons différentes solutions informatiques pour garantir la préservation de l’information sur le long terme. Dans le contexte numérique, cette nécessité de préservation sur le «long terme» implique une consommation énergétique de nos produits également sur le «long terme».

Pour limiter l’impact environnemental des différents modes de préservation et améliorer l’efficacité énergétique de nos produits numériques, il existe toute une série de mesures possibles qui sont applicables sur l’ensemble du cycle de vie, à la fois pour les archives physiques et numériques.

Sur la base de la littérature professionnelle existante nous avons identifié les points suivants sur lesquels nous pouvons agir :

  • La masse/quantité des données conservées (taille des fichiers, nombre de copies, non-valeur des informations), et donc leur non-production, la réduction de leur taille ou in-fine leur suppression (également sous forme de ré-évaluation des archives),
  • Les infrastructures utilisées (types de stockage, durée d’utilisation et de remplacement des matériaux),
  • Les processus (workflows) mis en œuvre.

Nos archivistes préconisent déjà chez nos clients des règles pour éviter la surproduction documentaire et savent mettre en place des actions de tri dans les masses qui ne sont plus utiles. Les demandes que nous devons maintenant gérer concernent le tri de vracs numériques.

Quant aux infrastructures que nous proposons pour notre offre cloud, elles reposent en partie sur SWITCHengines de la fondation suisse SWITCH et sur l’hébergeur suisse Infomaniak, considéré généralement comme un prestataire très efficient énergétiquement.

Nous allons continuer d’évaluer l’empreinte environnementale de nos produits et proposer des améliorations ces prochaines années.

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